LE TATTOO
CHEZ ABRAXAS
Dans une époque qui plus que jamais cultive le culte du corps et de l’apparence, le tatouage n’est plus vu seulement comme un acte de transgression ou un moyen de se différencier, mais comme un ornement. Le tatouage s’ajoute désormais à la panoplie du corps beau et sain, au même titre que fitness, diététique, et esthétique.
Le phénomène en lui-même n’est pas nouveau puisqu’il s’agit de pratiques ancestrales (signes d’appartenance à une tribu, religion…), c’est plutôt la médiatisation récente qui a largement participé à la démocratisation du body-art : lancé par la mode – Jean-Paul Gaultier le premier a utilisé le tatouage comme accessoire pour ses défilés et ses campagnes publicitaires – puis relayé par tous les médias.
Même si aujourd’hui tatouage est démocratisé, voire banalisé, il n’en reste pas moins une expérience personnelle, unique, mystique pour certains, en tout cas exaltante.
Il faut montrer patte blanche pour collaborer avec Abraxas en qualité d’artiste-tatoueur.
La sélection est sévère :
Chez Abraxas l’hygiène est une règle d’or, tant pour le piercing que pour le tatouage. Nous participons depuis des années à tous les travaux permettant de faire avancer la sécurité sanitaire du tatouage, notamment les colloques scientifiques sur les encres utilisées et nous nous sommes attelés à l’élaboration d’une norme sur les bonnes pratiques du tatouage au niveau européen. C’est bien, pas toujours facile et c’est comme ça que les pratiques évoluent.
Dans une époque qui plus que jamais cultive le culte du corps et de l’apparence, le tatouage n’est plus vu seulement comme un acte de transgression ou un moyen de se différencier, mais comme un ornement. Le tatouage s’ajoute désormais à la panoplie du corps beau et sain, au même titre que fitness, diététique, et esthétique.
Le phénomène en lui-même n’est pas nouveau puisqu’il s’agit de pratiques ancestrales (signes d’appartenance à une tribu, religion…), c’est plutôt la médiatisation récente qui a largement participé à la démocratisation du body-art : lancé par la mode – Jean-Paul Gaultier le premier a utilisé le tatouage comme accessoire pour ses défilés et ses campagnes publicitaires – puis relayé par tous les médias.
Même si aujourd’hui tatouage est démocratisé, voire banalisé, il n’en reste pas moins une expérience personnelle, unique, mystique pour certains, en tout cas exaltante.
Il faut montrer patte blanche pour collaborer avec Abraxas en qualité d’artiste-tatoueur.
La sélection est sévère :
Chez Abraxas l’hygiène est une règle d’or, tant pour le piercing que pour le tatouage. Nous participons depuis des années à tous les travaux permettant de faire avancer la sécurité sanitaire du tatouage, notamment les colloques scientifiques sur les encres utilisées et nous nous sommes attelés à l’élaboration d’une norme sur les bonnes pratiques du tatouage au niveau européen. C’est bien, pas toujours facile et c’est comme ça que les pratiques évoluent.