Le phénomène en lui-même n’est pas nouveau puisqu’il s’agit de pratiques ancestrales (signes d’appartenance à une tribu, religion…), c’est plutôt la médiatisation récente qui a largement participé à la démocratisation du body-art : lancé par la mode – Jean-Paul Gaultier le premier a utilisé le tatouage comme accessoire pour ses défilés et ses campagnes publicitaires – puis relayé par tous les médias.
Même si aujourd’hui tatouage est démocratisé, voire banalisé, il n’en reste pas moins une expérience personnelle, unique, mystique pour certains, en tout cas exaltante.